Naissance de la musique

Bien avant l'avènement de la race humaine était celle des dieux. Les êtres divins régnaient seuls sur la terre en compagnies d'autres créatures fantastiques comme les nymphes, les néréïdes, les dryades, les sirènes, les muses, les géants et quelques cyclopes. Les dieux appréciaient leurs territoire, ils aimaient se réunir pour se raconter des histoires et en inventer. Bachus et son vin exellaient en la matière.
Un jour on annonca la venue d'une nouvelle race plus fragile et plus éphémère sur terre. Les puissances céleste ordonnèrent aux dieux de remonter aux cieux afin d'observer et de se divertir du spectacle que donnerait cette nouvelle race. Ils devaient laisser la place à cette race qu'on nommait déjà race humaine. Avant d'abandonner la terre, les dieux voulurent se réunir une dernière fois et admirer la planète encore vide de toute nature animale ou végétale.
Une fête fut donc organisée par les plus grands soins de Bachus qui pris soin de vider son stock de jarre enfouit au fond des océans. Tout le monde but plus que de coutume. La dernière beuvrie des dieux murmurait-on. Ainsi les océan de poséidon s'agrandirent et la mer rouge nacquit, d'une jarre renversée par quelques malheureux cyclopes qui n'avaient pas ouvert le bon oeil.
Les muses étaient particulièrement affectées par les transports de l'alcool. La boisson bachusienne ennivraient les neuf soeurs à tel point que lorsqu'une des nymphes se mit à raconter une histoire elle furent prises d'un incoeurcible hoquet. Chaque phrase prononcée était interrompu par un "hic" incongru. L'assemblée fit silence surprise et agacée. L'on n'entendait plus que les "hics" des neufs soeurs à intervalles irrégulier. Les sons se mêlaient étrangement formant une mélopée. La nymphe se mit alors à raconter son histoire en faisant varier les tonalité de sa voix, en fonction des hoquets des muses. Sa voix fut porté par la rythmique improvisée et involontaire. Les dieux sourirent et apprécièrent la nouvelle forme de communication et d'art qui venait de naître.
La muse hic était née.

Intéressant, très intéressant même... Il est curieux de voir à quel point, même en pratiquant une activité aussi noble que celle-ci, on ne sache tout de même pas d'où elle vient ! ! !

Je te remercie de cet eclaircissement Centelm !